Déchirure ligamentaire/musculaire, rupture partielle
Qui n'en a jamais connu ? Il suffit de trébucher sur un caillou pour se tordre la cheville et de douleur. Heureusement, la douleur s'estompe généralement au bout de quelques minutes, mais il existe aussi un risque de déchirure des ligaments.
kybun vous permet de développer la proprioceptivité de votre pied et de prévenir ce type de blessure. Si l'appareil musculaire, tendineux et ligamentaire est affaibli ou endommagé, kybun vous aide à restaurer votre force, votre coordination et votre motricité durant votre rééducation.Définition
- Rupture du ligament externe de l'articulation tibio-tarsienne
- Déchirure du ligament latéral du genou
- Déchirure du ligament croisé du genou
- Déchirure du ligament latéral ulnaire consécutive à une luxation du coude
- Rupture du ligament latéral de l'articulation métacarpo-phalangienne du pouce (lésion caractéristique du ski)
- Déchirure ligamentaire complexe au niveau du carpe
Les déchirures musculaires touchent surtout les sportifs tels que les sprinters, les joueurs de tennis et les footballeurs, qui doivent contracter les muscles de leurs jambes/cuisses de manière très soudaine alors qu'ils sont en pleine action.
Les causes, les symptômes, le diagnostic, le traitement et la prévention du claquage et de la déchirure musculaire sont identiques. L'élongation, le claquage et la déchirure musculaire reposent sur les mêmes mécanismes et ne se distinguent que par la gravité des lésions musculaires. Lors d'une déchirure musculaire, plusieurs fibres musculaires sont touchées, la plupart du temps, tout un faisceau de fibres. Les petites fissures n'ont pas d'incidence sur les performances et surviennent fréquemment lors des entraînements.
Causes
En théorie, n'importe quel ligament de notre corps peut se déchirer, mais dans la réalité, les déchirures surviennent le plus souvent au niveau du pied, plus précisément de la cheville, ou du genou. Ces dernières années, on a également constaté une augmentation du nombre de déchirures ligamentaires du pouce, qui comptent parmi les blessures typiques du ski. Chez les joggeurs, les déchirures musculaires surviennent le plus souvent suite à l'étirement excessif associé à la sollicitation maximale d'un muscle insuffisamment échauffé. Des températures basses et une prédisposition aux contractures musculaires peuvent également favoriser la survenue des déchirures musculaires. En outre, ce type de blessure peut toucher les sportifs insuffisamment échauffés et survenir en cas de sollicitation brutale de muscles peu habitués à l'effort. Les autres conditions susceptibles de favoriser l'apparition de claquages sont les suivantes : les mouvements brusques et manquant de coordination, les sauts/prises d'appui, une technique défaillante, un matériel inadapté ou un sol accidenté. Certaines limites physiques, telles qu'une perte d'élasticité, une mauvaise circulation sanguine ou un âge avancé, peuvent expliquer l'incapacité des muscles à supporter les distensions ou les sollicitations erratiques. Gardez également à l'esprit que les efforts prolongés fatiguent les muscles et font transpirer, avec une abondante perte d'eau et d'électrolytes à la clé. Lorsque ces pertes ne sont pas compensées à temps et que le muscle n'est pas décontracté, un claquage est vite arrivé. Il survient généralement au niveau des muscles de la cuisse, de l'aine et du mollet. Enfin, des blessures extérieures ou infligées par des tiers (par exemple un accident, un choc ou un coup de pied) peuvent également être à l'origine d'un claquage.
Conséquences à long terme
Lorsqu'une déchirure musculaire n'est pas diagnostiquée et que le ligament ne peut pas se reconstituer, l'articulation risque de développer une instabilité chronique. Au niveau de la cheville, cela se traduit par un risque accru de se tordre le pied, au niveau du genou par des douleurs et une instabilité à la marche.
En l'absence de premiers secours adaptés (protocole G.R.E.C) après une blessure musculaire, les cellules endommagées peuvent provoquer une hémorragie de la masse musculaire. Il en résulte un hématome (ecchymose) dans le tissu musculaire qui peut induire la formation de tissus cicatriciels, entraver l'enchaînement naturel des mouvements et réduire significativement les capacités/la résistance du membre lésé. Par conséquent, en cas de claquage, il est indispensable de mettre le membre touché au repos et de suspendre toute activité sportive.
Traitement conventionnel
Lorsque c'est possible, un traitement conservateur est prescrit en première intention et, en cas d'échec, l'opération s'impose très souvent comme un passage obligé. En quoi consiste le traitement conservateur ?
Outre le soulagement de la douleur, l'application d'un bandage et d'une pommade pour réduire l'œdème, l'articulation est immobilisée au moyen d'une attelle ou d'un bandage adhésif (tapes/taping). Des exercices de kinésithérapie sont prescrits rapidement afin de mobiliser et de renforcer les muscles et d'améliorer la proprioception et la coordination.
Bien que les douleurs de la blessure musculaire soient intenses au départ, elles diminuent spontanément en quelques jours sous l'effet du froid, de l'immobilité et du repos. Lorsque des vaisseaux sanguins sont lésés et qu'un hématome s'est formé, les douleurs peuvent persister plus longtemps.
Le réflexe indispensable en cas de claquage est de mettre en œuvre le protocole G.R.E.C. La signification de cet acronyme est la suivante : G : GlaceR : Repos
E : Élévation
C : Compression Lorsque c'est possible, les blessures musculaires bénéficient d'un traitement conservateur, notamment de séances de kinésithérapie.
En règle générale, un claquage ne nécessite pas d'opération. Lorsque la déchirure s'étend sur plus d'un tiers de la coupe transversale du muscle, que l'hémorragie est trop importante ou en cas d'impotence fonctionnelle complète du muscle, l'opération permet de suturer le muscle. On a également recours à l'opération chez les sportifs professionnels qui doivent être remis sur pied rapidement et chez les patients qui le souhaitent expressément.
Le principe d'efficacité selon kybun : être proactif
Réactions initiales
Exercices kybun
Conseils d'utilisation
- Durant la phase d'adaptation, il est très important de choisir le bon dosage, c'est-à-dire d'adapter la durée d'utilisation des kyBoot/du kyBounder en fonction de vos besoins. Au début, préférez les courtes distances et les terrains réguliers afin de vous habituer à l'effort requis par les chaussures kyBoot ou le tapis kyBounder.
- Augmentez progressivement la durée d'utilisation en fonction de votre ressenti, jusqu'à ce que vos pieds aient retrouvé suffisamment de force et de coordination pour supporter les kyBoot pendant plusieurs heures. Ce processus varie énormément d'une personne à l'autre : chez certaines personnes , il ne prendra que quelques jours, tandis que pour d'autres, il sera nettement plus long.
La kyBoot est un dispositif d'entraînement qui peut ensuite s'utiliser comme une chaussure de tous les jours, sans que cela ne constitue une obligation. - Veillez à positionner vos pieds correctement sur le kyBounder/dans les kyBoot. Pour cela, vérifiez que vos pieds reposent bien à la verticale sur la matière souple et élastique et qu'ils ne roulent pas vers l'intérieur ou l'extérieur. Si vous observez ce phénomène lorsque vous utilisez la kyBoot et/ou le kyBounder, ce n'est généralement pas kybun qui est en cause, mais une faiblesse du pied qui se corrigera progressivement avec l'entraînement. Si vous ne répartissez pas la charge uniformément sur vos deux pieds, vous remarquerez que la semelle s'enfonce à l'endroit sur lequel vous pesez le plus.
- Essayez de vous concentrer sur la position de vos pieds et de rectifier ce mouvement de rotation latéral. Vous renforcerez ainsi les muscles de vos pieds et, avec le temps, vos pieds ne s'affaisseront plus vers l'intérieur ou l'extérieur. Vous devez éviter la moindre sensation de contracture. Pour plus d'informations, veuillez vous reporter à la rubrique « Rotation des pieds vers l'intérieur ou l'extérieur ».
- Veillez à ne pas faire de pas trop longs : vous stabiliserez mieux votre pied sur la semelle de la kyBoot, ce qui limitera l'affaissement du pied vers l'intérieur ou l'extérieur.
- Si vous avez l'impression de ne pas pouvoir vous tenir droit dans vos kyBoot ou que vos pieds sont tordus au point de sortir de vos chaussures sans que vous puissiez corriger cette mauvaise position, cela veut dire que votre corps est fatigué et que vous avez besoin de faire une courte pause dans le traitement kybun.
- Lorsque les muscles du pied sont peu développés, il peut se révéler judicieux d'acheter comme premières kyBoot une paire équipée d'un effet trampoline plus faible. Cette semelle offre une meilleure stabilité au niveau de la partie médiane du pied. (Pour plus d'informations, adressez-vous à votre revendeur de kyBoot.)
- Essayez plusieurs modèles de kyBoot : certains offrent une tige plus haute et donc une meilleure stabilité.
- Si vous ne vous sentez toujours pas ferme sur vos jambes dans les kyBoot, le kyBounder sera l'appareil d'entraînement idéal pour remuscler les pieds de manière ciblée. Laissez du temps à votre corps et ne renoncez pas trop vite.
Le kyBounder est disponible en 3 épaisseurs : vous pouvez ainsi choisir l'épaisseur sur laquelle vous êtes le plus à l'aise (plus le tapis est épais, plus il est instable et plus l'entraînement sera intensif).
Par ailleurs, lorsque vous êtes débout sur le kyBounder, vous avez la possibilité de vous tenir à quelque chose de fixe afin de mieux garder l'équilibre.
Avis/Témoignages des clients
J’ai acheté ma première paire de chaussures kyBoot à l’automne dernier, car je ressentais toujours des douleurs à la suite de l’accident (survenu en été 2013). Cette déchirure musculaire multiple du mollet droit semblait tenace. Elle m’a value six mois de physiothérapie, de traitement par ultrasons (pour un hématome de 15 cm entre les fibres), des radios et des IRM. Plus un cycle supplémentaire de physiothérapie avec ondes de choc. De l’acupuncture, des massages francs. À chaque fois, cela allait mieux pendant quelque temps, mais une guérison durable semblait hors d’atteinte. En me levant, je ressentais toujours des douleurs aigües dans le pied droit et les médecins n’en comprenaient pas la raison. Pourquoi des douleurs au pied si c’est le muscle du mollet qui a été touché ? En octobre 2014, j’ai décidé d’essayer la kyBoot. J’ai été très bien accueilli, on m’a donné de très bons conseils et je suis sorti du magasin avec la chaussure en question. Depuis ce moment, je la porte toute la journée. Au bureau comme en déplacement. J’ai même pu faire quelques promenades avec. Malgré les douleurs et contre l’avis de mon médecin traitant, j’ai continué à pratiquer mon sport préféré, la danse de salon (le disco swing, le jive... donc plutôt les genres où ça bouge). À côté de ça, j’ai fait des exercices de musculation, d’étirement, etc. Au printemps, mon médecin m’a encore fixé un rendez-vous à la Etzelklinik et m’a mis en contact avec un médecin du sport pour s’occuper spécialement de mon cas. J’ai obtenu un rendez-vous « relativement vite », pour le 22 janvier 2015. Mais les douleurs ont disparu progressivement, au point que je n’avais plus du tout mal lors du rendez-vous. Mon médecin m’a quand même conseillé d’y aller. Les médecins de la clinique ont été surpris. Des radios, des questions. Comment est-ce possible ? Il n’y a avait plus rien à voir. La seule chose qui mettait les deux spécialistes d’accord, c’est qu’on ne voyait plus rien. L’un des spécialistes se demandait si une semelle minimale ne pourrait pas agir contre ma légère « distorsion interne » (en quoi ?). Le médecin du sport était d’avis que j’avais tout fait comme il fallait. BOUGER ! Il invoqua le travail et le choix des procédés (thérapie unique par ondes de choc et acupuncture) de la dernière physiothérapie. Mais il pensait surtout que le fait d’avoir beaucoup bougé avait joué un rôle primordial pour faire disparaître les douleurs dans le pied. Je peux remercier la kyBoot pour cela. Son conseil : ne rien changer. kyBoot, le sport, la danse, etc. (Il était clairement contre les semelles spéciales !) En fait, les douleurs provenaient d’une position antalgique que j’avais adoptée à l’époque de l’accident puis repris quelque temps après. Sans que je m’en rende compte, le fait de pouvoir tout le temps bouger mon pied librement a permis de briser ce cercle vicieux. Voilà. Il ne me reste qu’une chose à dire : merci infiniment.