kybun Témoignages
La marche est bien plus facile et fluide. Pour moi, c’est la chaussure de ma vie.
Roland Diewald de l' Allemagne
Si l’on considère que, sur une échelle de douleur, un infarctus est égal à 10, alors je dirais que ma douleur se situait à trois ou quatre. Depuis que j’ai le kyBounder, je peux dire en toute franchise qu’elle est désormais à zéro.
Cetin Köksal, musicien professionnel, Suisse
Désormais, je marche sans douleur. Avant, je sentais toujours une pression dans la prothèse et j’avais des douleurs permanentes en marchant. Elles ont depuis complètement disparu et j’éprouve un véritable bien-être avec ma prothèse.
Roland Diewald de l'Allemagne
Il se trouve que j’avais très souvent mal, ici, sous l’épaule droite. Après avoir joué environ une heure, je dirais. J’ai tout essayé, que ce soit la gymnastique, la physiothérapie, des exercices d’étirement pendant que je jouais et après. Mais les résultats n’étaient pas très satisfaisants. Depuis que j’utilise le kyBounder sur lequel je me tiens debout en jouant, - c'est-à-dire que je reste dessus, puis je descends et je marche un peu- je ne ressens plus ces douleurs, c’est surprenant.
Cetin Köksal, musicien professionnel, Suisse
La grande différence, selon moi, c’est que quand je suis comme ça et que je joue normalement, la position de ma colonne vertébrale est différente. Quand je suis sur le kyBounder, j’ai l’impression que le bassin est plus en avant. Les genoux travaillent plus. La grande différence, c’est qu’on est toujours en mouvement. C’est un mouvement que l’on doit toujours compenser avec les pieds. J’ai le sentiment que cela permet d’être moins contracté.
Cetin Köksal, musicien professionnel, Suisse
Il y a deux raisons à cela. La première, c’est le bien-être et l’autre, c’est tout simplement le mouvement. Moi qui suis plutôt un employé de bureau et qui bouge trop peu, je fais ainsi automatiquement plus de mouvements.
Haeme Ulrich, intervenant et formateur de la Suisse
Je mets mes kyBoot surtout pour la fanfare. En privé, je ne les porte pas très souvent bien qu’elles soient plutôt jolies.
Nadja Bissegger, fanfare d’Uttwil, Suisse
Au tout début, j’avais quelques courbatures, et ce même à des endroits où je ne savais pas qu’on avait des muscles. Désormais, je porte ces chaussures tous les jours. Le matin, j’ai plusieurs chaussures à disposition dans le placard mais je finis toujours par prendre les kyBoot.
Haeme Ulrich, intervenant et formateur de la Suisse
Je suis surpris de voir le nombre de musiciens de notre fanfare qui ont adopté cette chaussure. Moi-même, je me suis tout de suite senti très à l’aise dedans. La première fois que je les ai portées, c’était pour la foire de Munich, pendant deux jours d’affilée. Après cela, je n’avais pas du tout mal aux pieds, bien au contraire.