kybun Témoignages
Au début, j’avais un peu de peine. C’est inhabituel. La position debout est différente. Je me suis d’avantage concentré sur les pieds que sur ce que je chantais.
Rita Brüllhardt, voix alto au sein du Gossau Gospel Choir, Suisse
Maintenant, c’est juste agréable. Je le vis d’une manière positive et belle.
Rita Brüllhardt, voix alto au sein du Gossau Gospel Choir, Suisse
Au début, aussi bien avec le tapis qu’avec la chaussure, j’ai eu des étourdissements et j’ai un peu titubé. Maintenant, je me donne de la peine de marcher droit.
Rita Brüllhardt, voix alto au sein du Gossau Gospel Choir, Suisse
Le corps est plus dynamique, en permanence en activité. Il n’est pas possible d’être debout de manière passive. On reste actif tout le temps.
Res Gerber, voix ténor au sein du Gossau Gospel Choir, Suisse
Étant donné que le corps est plus actif, l’humeur s’améliore. Je peux m’imaginer que le ton de la voix est plus positif.
Res Gerber, voix ténor au sein du Gossau Gospel Choir, Suisse
Je trouve que c’est un bon produit. Il est mou et souple et me permet d’être debout bien plus longtemps. De par mon travail, j’y suis déjà habitué. Je porte aussi les chaussures et suis sur le tapis.
Manuela Zeller, voix alto au sein du Gossau Gospel Choir, Suisse
Au début, il faut s’y habituer, car on titube un peu. Étant donné que le mouvement est complété par un mouvement supplémentaire. C’est un réel soutien qui donne plus d’énergie.
Manuela Zeller, voix alto au sein du Gossau Gospel Choir, Suisse
Je ne me suis pas beaucoup exercé sur le kyBounder, car j’étais assis au piano. Mais lorsque j’étais debout, c’était bon. Ça me fait du bien. J’ai à nouveau remarqué que je reste toujours en mouvement.
Urs Leuenberger, chef de chœur, Suisse
Ce que je peux affirmer, c’est que plus personne ne pouvait rester droit. Sur les tapis, on est toujours en mouvement. On bouge tout seul. C’est très bien pour des personnes qui sont un peu raides.
Urs Leuenberger, chef de chœur, Suisse
Pour l’instant, cinq personnes ont acheté la kyBoot pour moi. Cependant j’ai toujours continué. Je ne me suis plus contenté d’une paire de chaussures. Ensuite l’hiver est venu ici, à 1500 mètres. J’ai acheté la première botte d‘hiver. Puis il y a eu la chaussure de marche. Maintenant il existe une nouvelle belle botte d‘hiver. Et j’en possède également une pour l’été, et trois paires pour l’entre-saison.