Témoignages relatifs à kybun et interviews vidéo

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kybun Témoignages

Au début, c’était fatiguant d’augmenter l‘entraînement avec la kyBoot. J’étais plus vite fatiguée, mais maintenant, je ne sens plus rien. En montée, c’est plus exigeant. Et là, j’ai l’impression que ça me fait du bien. C’est comme un entraînement.

Erika Weiss, s’intéresse à la biomécanique, Suisse

Nos professions nous amènent à être toute la journée en déplacement. J’ai de l’arthrose au genou, et donc des douleurs permanentes. La kyBoot remplace l’amorti qui manque dans mon genou en raison de l’arthrose. Ce qui diminue la douleur.

Erika Weiss, le kyBoot calme ma douleur, Suisse

Je peux rester debout plus de trois heures, alors que les autres s’asseyent et se plaignent de jambes lourdes. Il y a six mois, j’étais comme eux. Aujourd’hui, je reste debout plus longtemps et je ne connais plus de jambes lourdes.

Priska Hirt, en formation pour devenir physiothérapeute pour chevaux, Suisse

Je marchais comme sur un nuage. Tellement souple. Mais après environ un quart d’heure, j’ai eu d’importants vertiges. Au début, j’ai fait de petites séquences d‘entraînement afin de ne pas en faire trop, car pour l’équilibre, c’était aussi un défi.

Erika Weiss, s’intéresse à la biomécanique, Suisse

L’idéal serait d’avoir des fers à cheval de kybun. Je serais l’acheteur no 1. Pour ânes et chevaux. J’ai aussi des ânes. Ce serait un énorme créneau commercial et cela les aiderait.

Priska Hirt, en formation pour devenir physiothérapeute pour chevaux, Suisse

En fait, je fais une formation de physiothérapeute pour chevaux. Et la kyBoot m’a redonné l’espoir de pouvoir tenir. Auparavant, je ne pouvais rester debout plus d’une heure. Depuis que je porte la kyBoot, je peux être debout et marcher 12 heures sans jambes lourdes, ni douleurs, ni crainte de ne pas pouvoir dormir durant la nuit. C’est la réalisation de ma profession de rêve grâce à la kyBoot. C’est pourquoi je suis si heureuse et je la conseille à tous.

Priska Hirt, en formation pour devenir physiothérapeute pour chevaux, Suisse

Aussi longtemps que je me souvienne, j’ai des maux de dos. Avec des lancées dans la jambe, ce qui a provoqué des nuits sans sommeil. Maintenant que j’ai pratiquement tout essayé, j’ai pensé que ça vaudrait la peine. Et justement, parce que je sais qu’en matière de chaussure, c’est très important, et qu’il faut être bienveillant. Je suis allée dans un shop et j’ai tout regardé. Au début, j’ai pu avoir une chaussure test, ce que j’ai énormément apprécié. Je ne voulais pas dépenser trop d’argent tout de suite. J’ai porté cette chaussure 5 à 10 minutes, puis j’ai éprouvé des douleurs au genou. J’étais horrifiée. J’ai pourtant été mise en garde, mais je n’aurais pas pensé que ça pouvait faire aussi mal. Ensuite, j’ai reçu un kyBounder pour m’entraîner 6 à 7 fois par jour. Après deux semaines, j’ai déjà remarqué que je pouvais me mettre dessus sur une jambe sans douleurs. J’ai rendu le tapis et j’ai acheté les premières chaussures. Depuis, je n’ai plus de problèmes.

Priska Hirt, en formation pour devenir physiothérapeute pour chevaux, Suisse

Je le redis partout. C’est un vrai top-modèle. Surtout dans notre domaine, dans lequel la santé est primordiale. En principe, nous avons appris à adopter une posture décontractée. Et toutes les tensions que nous avons se répercutent sur le cheval. Lorsque nos énergies ne circulent plus, aucun dialogue ne peut être établi avec le cheval. D’où l’importance d’une posture optimale pour tous les thérapeutes qui travaillent avec des chevaux ou des personnes.

Priska Hirt, en formation pour devenir physiothérapeute pour chevaux, Suisse

J’ai l’impression de marcher sur du coton. Si je n’ai pas les chaussures, la sensation me manque et j’ai l’impression de marcher sur des pierres. C’est très désagréable. Je ne veux plus m’en passer.

Priska Hirt, habite à Bubikon ZH, Suisse

Au début, c’était difficile de former les chaussures. Je ne pouvais marcher que 5 minutes par jour, et maintenant, après 4 à 6 mois, je peux les porter toute une journée. Lorsque je marche, mes jambes ne sont plus lourdes. Le soir, couchée dans mon lit, mon dos est détendu. Je n’ai plus besoin de 10 minutes pour détendre les muscles.

Priska Hirt, habite à Bubikon ZH, Suisse