Témoignages relatifs à kybun et interviews vidéo

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kybun Témoignages

Lorsque j’ai porté la kyBoot toute la semaine au travail, je suis reposé pour le week-end. Avant, c’était le contraire. Lorsque je portais des chaussures rigides et que je marchais toute la semaine, j’étais épuisé durant le week-end. Mon corps n’en pouvait plus et était épuisé.

Peter Meier, fondateur de MP Garage à Au, Suisse

Durant les loisirs, je ne peux me passer de la kyBoot. Que ce soit pour la randonnée, le jogging ou les sorties le soir, c’est une chaussure agréable. On retrouve sa jeunesse.

Peter Meier, fondateur de MP Garage à Au, Suisse

La semelle est idéale, très résistante. Également au niveau produits chimiques. Aucun danger. La kyBoot est légèrement crantée, ce qui est un avantage chez nous, étant donné que la semelle est souple et s’adapte à tout terrain.

Peter Meier, fondateur de MP Garage à Au, Suisse

Au début, c’est une sensation particulière. Le vendeur a dit que c’est comme marcher pieds nus, ou sur de la mousse. C’est une sensation très proche de celle que j’ai connue autrefois. Je suis fils de paysan et nous avons beaucoup marché pieds nus. C’est bien souple et on s’y sent bien. Je pourrais porter ces chaussures sans problème toute la journée.

Patrick Odermatt, chef d’atelier de MP Garage à Au, Suisse

Le pneu de la voiture, c’est la chaussure chez l’homme. Ce sont les seuls à toucher le sol. Pour les pneus, l’importance est moindre. Les articulations de la voiture peuvent être remplacées. Chez l’homme, c’est également possible, mais problématique. D’où l’importance de porter de bonnes chaussures souples. J’ai aussi dû en faire l’expérience moi-même.

Patrick Odermatt, chef d’atelier de MP Garage à Au, Suisse

Une bonne chaussure de travail coûte aussi entre 150 et 180 francs. Si tu dépenses 100 francs de plus, que tu n’as plus de douleurs et ne dois plus prendre d’analgésiques, je pense que ça en vaut la peine. En pensant à l’avenir, c’est un bon investissemen

Patrick Odermatt, chef d’atelier de MP Garage à Au, Suisse

Je peux porter les chaussures sans problème toute la journée. Lorsque nous devons être prêts pour 15 heures et que le concert débute à 19 heures, je ne sens rien. Je n’ai de maux ni au dos ni aux genoux. De plus, je n’ai plus de pieds brûlants. C’est vraiment comme le jour et la nui

Roger Stauffer, voix basse au sein du Gossau Gospel Choir, Suisse

À la maison, j’ai un tapis pour le lutrin. Occasionnellement pour le travail. On peut rester plus longtemps debout. On s’y habitue au fil du temps. Comme un entraînement. Lorsque les muscles ont été sollicités longtemps. Lorsque les entraînements sont occasionnels, la fatigue se fait ressentir plus vite. On a des courbatures ou des lourdeurs dans les mollets. Le tapis peut être un bon soutien. Rester debout, c’est alors plus agréable et possible plus longtemps.

Roger Stauffer, voix basse au sein du Gossau Gospel Choir, Suisse

Au début, j’avais un peu de peine. C’est inhabituel. La position debout est différente. Je me suis d’avantage concentré sur les pieds que sur ce que je chantais.

Rita Brüllhardt, voix alto au sein du Gossau Gospel Choir, Suisse

Maintenant, c’est juste agréable. Je le vis d’une manière positive et belle.

Rita Brüllhardt, voix alto au sein du Gossau Gospel Choir, Suisse