kybun Témoignages
Vu les différentes soirées, c’est super pour moi. Par exemple la soirée des amis du musée, ou la nuit du musée. On est alors debout jusqu’à minuit, et ceci après une journée de travail. C’est super pour moi, car je n’ai aucune douleur aux pieds ou aux genoux. Parfois, lorsque je vois mes collègues plus jeunes totalement épuisés - je suis la plus âgée du musée - c’est agréable d’affirmer: « Je n’ai vraiment aucun problème, et je vais bien. »
Dora Huguenin, guide de musée au Locle, Suisse
Je trouve ça très agréable. Je trouve que c’est comme sur un sol de forêt. C’est très agréable au niveau des articulations, des hanches et des genoux. C’est très souple. C’est très agréable.
Tamara Zäch, Suisse
J’ai l’impression que, dans l’ensemble, ça décontracte. La posture adoptée est différente, car le support est souple. Il n’est pas possible de se crisper.
Tamara Zäch, Suisse
L’avantage de ces chaussures est tout simplement la santé. Je n’ai plus de problèmes de dos. Plus rien. C’est l’avantage.
Rolf Hässig, dispose de la plus grande collection de motocross en Europe, Suisse
Je gagne en qualité de vie en étant aussi longtemps debout. Et lorsque je vais bien, le moral est aussi très bon.
Beat Müller, producteur de musique, Suisse
Au début, les gens sont sceptiques et regardent tes pieds en se disant: « Quelle chaussure étrange! » Lorsque tu leur expliques que cette chaussure est agréable et qu’elle amortit les chocs, certains l’essayent et sont enchantés.
Peter Meier, fondateur de MP Garage à Au, Suisse
J’ai déjà abîmé mes genoux en étant jeune. J’ai négligé mes genoux lorsque je faisais de la moto. Ils ont souvent eu froid. J’ai dû lutter très tôt contre les problèmes de genoux. En raison de la semelle rigide des chaussures de travail, j’avais souvent des douleurs aux genoux le soir. Depuis que je porte la kyBoot, c’est bien mieux. Les douleurs ne disparaissent pas complètement, mais il y a une nette différence.
Patrick Odermatt, chef d’atelier de MP Garage à Au, Suisse
Tu as l’avantage de ne pas être trop fatigué le soir, et les maux aux genoux ne sont pas trop violents. Un désavantage est qu’au début, tu dois t’habituer à la chaussure. Être rigoureux au départ, jusqu’à ce que la musculature se développe. Par la suite, on en parle plus. En hiver, je devrais essayer les chaussures montantes. Autrement, j’ai les chaussures pleines de neige.
Patrick Odermatt, chef d’atelier de MP Garage à Au, Suisse
Mon chef Pierre porte la kyBoot depuis cinq à six ans. Il m’a incité à essayer la chaussure. Puis je me suis acheté une paire qui m’allait bien dès le début.
Patrick Odermatt, chef d’atelier de MP Garage à Au, Suisse
Je connais la kyBoot et, avant elle, la MBT depuis longtemps, car je connais Karl Müller depuis des années. Lorsque j’ai débuté à la chorale, nous devions être vêtus de blanc. J’ai cherché des chaussures blanches et j’ai trouvé une paire de mocassins médicaux. Après les longs concerts, mes pieds étaient chauds et brûlaient, et mon dos faisait mal. Je me suis souvenu de la kyBoot et me suis acheté une paire blanche. Emanuel Sieber m’a demandé pourquoi j’avais besoin de cette chaussure, et si je travaillais à hôpital. Je lui ai expliqué que j’avais besoin de la chaussure pour la chorale.